JDF #661 : Des hommes et des plantes : domestication et diversité – Mars 2021

Jardins de France #661 : Des hommes et des plantes : domestication et diversité

Prix public : 12 euros
Prix adhérent : 10 euros

Juin, septembre, décembre 2020, et maintenant mars 2021, quatre numéros de Jardins de France sous le signe de la crise sanitaire. Confinement, déconfinement, re-confinement, mi-confinement, la séquence n’incite pas à l’optimisme pourtant les Français font face à cette morosité. Leur intérêt pour les plantes gagne chaque jour du terrain, toutes les enquêtes professionnelles le montrent. La Société nationale d’horticulture de France se doit d’encourager cette tendance en contribuant, avec tous les moyens à sa disposition, à la diffusion et à la vulgarisation des connaissances horticoles, qu’il s’agisse de sciences, de voyage ou de jardinage.

Jardins de France, par ses versions en ligne et imprimée, est l’un des outils que la SNHF met à la disposition des amateurs de plantes. Profitons de ce nouveau numéro pour enrichir nos connaissances et nous émerveiller de la diversité des végétaux et des jardins.

Le Grand Angle de ce numéro, « Des hommes et des plantes : domestication et diversité », nous enseigne comment, de son apparition jusqu’à nos jours, Homo sapiens a domestiqué les végétaux, passant du statut de chasseur-cueilleur à celui d’agriculteur-jardinier et de sélectionneur, utilisant la diversité naturelle pour enrichir la diversité cultivée ; comment aussi, les plantes l’ont accompagné dans ses innombrables migrations.

Les articles des rubriques viennent, comme toujours, enrichir nos connaissances, faciliter la vie du jardinier et pour cette fois, en plus, réveiller nos talents d’illustrateur. Attardons-nous quelques instants. Saviez-vous que c’est un recépage improbable qui a contribué au développement commercial des rosiers paysagers si faciles à cultiver ? Imaginiez-vous que la technique PCR, dont on nous rebat les oreilles, est très utile chez les végétaux et qu’elle peut s’expliquer simplement ? Me croirez-vous si je dis que, pour faciliter leur élimination, on peut reconnaître les adventices à leurs racines ou, encore, que le premier producteur français de fleurs coupées est situé dans la Sarthe ?

Toutes les réponses dans ce numéro, bonne lecture à toutes et à tous !

Noëlle Dorion, Membre du bureau de la SNHF en charge de Jardins de France